Ridé
Rubrique pour apprendre en s'amusant. On poste des photos de champignons déjà déterminés sans en donner le nom...
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Y.Courtieu a écrit :- avec ses lames ascendantes-adnées de couleur crème jeune puis brun-tabac (GEPR) ou brun-noir (C.Frund) ici violacées, il est vrai !Ma question est : était-ce la cas sur le terrain ou est-ce un défaut photographique ?
Je précise tout même que ce n'est pas que je doute de la détermination (sans avoir eu le champi en main, difficile d'argumenter), ce que je ne comprends pas, c'est comment vous vous orientez vers le genre Psathyrella avec ces photos (et cette couleur de lames) pour seuls indices ?
L'amanite phalloïde a mauvaise réputation.
C'est pourtant l'un des rares champignons qui soit capable d'abréger les souffrances des myopathes.
Pierre Desproges
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Oui, pas de problème pour gossypina à mon avis.
Amitiés, Guillaume.
Amitiés, Guillaume.
Biologie fongique - Expertises (Dr. Guillaume Eyssartier)
Merci à Guillaume de cette confirmation
Pour répondre à Fifi : ce n'est pas un défaut photographique: les lames étaient bien un peu violacées sur le terrain,
ce qui m'a conduit, pensant dès le départ à Psathyrella gossypina, que je vois personnellement pour la quatrième fois
au moins ( ce qui aide à "avoir le coup d'oeil" ) à douter néanmoins, cette couleur étant en effet plutôt atypique.
C'est la raison pour laquelle j'ai éprouvé le besoin, maintenant que j'utilise plus couramment mon microscope, de vérifier s'il y avait bien des cystides avec goutte huileuse: c'était le cas, alors... la conclusion s'imposait.
Cette Psathyrelle ne ressemble pas aux autres, je trouve, elle est déjà plus robuste que ses congénères et les lames sont
surtout reconnaissables à leur arête un peu "givrée" en tout cas plus pâle que les faces.
Pour répondre à Fifi : ce n'est pas un défaut photographique: les lames étaient bien un peu violacées sur le terrain,
ce qui m'a conduit, pensant dès le départ à Psathyrella gossypina, que je vois personnellement pour la quatrième fois
au moins ( ce qui aide à "avoir le coup d'oeil" ) à douter néanmoins, cette couleur étant en effet plutôt atypique.
C'est la raison pour laquelle j'ai éprouvé le besoin, maintenant que j'utilise plus couramment mon microscope, de vérifier s'il y avait bien des cystides avec goutte huileuse: c'était le cas, alors... la conclusion s'imposait.
Cette Psathyrelle ne ressemble pas aux autres, je trouve, elle est déjà plus robuste que ses congénères et les lames sont
surtout reconnaissables à leur arête un peu "givrée" en tout cas plus pâle que les faces.
Yves
UN CORPS FROID NE PEUT PAS CHAUFFER UN CORPS CHAUD
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Salut Fifi,
Fifi a écrit :Parce que je ne vois pas vers quel autre genre on pourrait s'orienter.Y.Courtieu a écrit :- avec ses lames ascendantes-adnées de couleur crème jeune puis brun-tabac (GEPR) ou brun-noir (C.Frund) ici violacées, il est vrai !Ma question est : était-ce la cas sur le terrain ou est-ce un défaut photographique ?
Je précise tout même que ce n'est pas que je doute de la détermination (sans avoir eu le champi en main, difficile d'argumenter), ce que je ne comprends pas, c'est comment vous vous orientez vers le genre Psathyrella avec ces photos (et cette couleur de lames) pour seuls indices ?
Jean Pierre Raverat.
http://www.champignons77.org/
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Jean Pierre a écrit :Parce que je ne vois pas vers quel autre genre on pourrait s'orienter.Ah bon ?... cela n'explique pas grand chose.
La couleur des lames m'évoquait éventuellement Lacrymaria lacrymabunda, proposé par Bastic semble-t-il, mais le chapeau ne convient évidemment pas. Ou encore du côté des strophaires (lames brun violacé)... sans qu'aucune espèce que je connais ne convienne.
Enfin... si cela semble évident pour tout le monde...
L'amanite phalloïde a mauvaise réputation.
C'est pourtant l'un des rares champignons qui soit capable d'abréger les souffrances des myopathes.
Pierre Desproges
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