Bonne chance !
Rubrique pour apprendre en s'amusant. On poste des photos de champignons déjà déterminés sans en donner le nom...
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Une espèce dont l'hyménium réagit en bleu à l'iode de façon spectaculaire, d'où, sans doute, son nom de genre ?
Yves
UN CORPS FROID NE PEUT PAS CHAUFFER UN CORPS CHAUD
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C'est cela, Yves. La clé de Doveri sépare les deux espèces par l'intensité de l'amyloïdie des asques et la grandeur des spores en plus de la couleur des apothécies et de l'habitat, j'ai fait mon choix sur les deux premiers critères, je vous laisse juge :
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Voici :
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Bonsoir à tous.
24 heures de passées depuis ma dernière contribution sans aucune réaction de quiconque, sans doute l'effet Pâques. Je conclurai certainement ce sujet avant minuit.
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Les spores sont à ornementation très basses dans ce groupe, on peut le voir en agrandissant les contours, le Q. de mes spores se situe entre 1.6, 1.7.
Tu peux voir la différence entre les 3 espèces sur ce site sérieux : ici.
J'ai posté ce sujet sur ascofrance et personne n'a évoqué une troisième piste sans pour autant trancher entre les deux proposées.
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C'est en effet ma préférence mais j'y mettrai un cf. pour plusieurs raisons.
Sur quelle base les séparer en dehors de la clé de Doveri ? Elles figurent toutes les deux sur le listing Rhône Alpes Auvergne. Une étude argentine plus récente de 2007 (Cinto et all.) ne tranche pas vraiment entre les deux et les synonymise mais Nicolas Vanvooren la juge pas très sérieuse en dehors de toute vérification par la biomol restant à faire.
La forte amyloïdie des asques, les grandeur/profil des spores et dans une moindre mesure la couleur orange brillante me font pencher pour elle malgré l'habitat coprophile.
Le FTE cite testaceus avec des spores plus grandes.
Je renomme tel quel en attendant de futures études moléculaires pour trancher définitivement. Je suis assez content d'avoir pu ici vous présenter ce genre pour la première fois.
Merci à tous.
Quelques images de plus :
Sur quelle base les séparer en dehors de la clé de Doveri ? Elles figurent toutes les deux sur le listing Rhône Alpes Auvergne. Une étude argentine plus récente de 2007 (Cinto et all.) ne tranche pas vraiment entre les deux et les synonymise mais Nicolas Vanvooren la juge pas très sérieuse en dehors de toute vérification par la biomol restant à faire.
La forte amyloïdie des asques, les grandeur/profil des spores et dans une moindre mesure la couleur orange brillante me font pencher pour elle malgré l'habitat coprophile.
Le FTE cite testaceus avec des spores plus grandes.
Je renomme tel quel en attendant de futures études moléculaires pour trancher définitivement. Je suis assez content d'avoir pu ici vous présenter ce genre pour la première fois.
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