[Cécile]

Bon, je me lance avec seulement le guide Belin comme référence, alors il faudrait vérifier sur nos sites préférés si d'autres espèces n'émergent pas ...
Si c'était un Arthonia ce serait forcément A. atra puisque lui seul possède des pycnides, mais les spores de cette espèce font 13 à 18 µ de longueur. Je crois qu'on peut donc l'écarter.
Ce qui nous ramène au genre Operographa. La taille des spores et leur nombre de cloisons n'aide pas beaucoup : c'est juste dans la moyenne pour chacune des deux espèces décrites par Chantal Van Haluwyn. En fait c'est la petite taille des conidies qui me décide, en plus des lirelles qui me semblent plutôt ouvertes. Je parie donc pour Operographa niveoatra

[Coucouck]

Bonjour Cécile,

Je pense également qu'il s'agit de Opegrapha niveoatra . En effet, c'est la taille des conidies qui distingue cette espèce de O. vulgata.

[Ghislaine]

Bonjour à toutes et tous.
Bien vu.
Question subsidiaire: la nouvelle édition était-elle très différente de la première?

[Coucouck]

Bonjour Ghislaine,
Tu parles des guides Belin ?

J'ai malheureusement cédé mon ancienne édition à un ami donc je ne peux pas comparer.
Il me semble que la nouvelle édition contient plus de fiches espèces, avec quelques ajouts comme Xanthomendoza huculica entre autres.
En outre, pas mal de noms de genre ont été actualisés (Paulycoliauna, Lepra...), ce qui est pratique pour comparer avec la littérature en ligne...

[Cécile]

Pour le guide Belin des lichens des arbres, mêmes réponses que Hugo, je n'ai pas comparé page par page mais il y a de nouveaux noms, soit parce que la nomenclature a changé, soit parce que les auteurs ont ajouté des fiches. Par exemple, tu as vu, tout au début de ce sujet, que je nommais un Operographa atra qui ne figure pas dans la première édition.
Et il va y avoir bientôt une nouvelle édition du guide des lichens des roches, hé hé hé !

[Ghislaine]

Merci à vous deux, je vais passer à la librairie je pense