J'ai consulté un article intéressant de V. Antonin et al. sur ce groupe d'armillaires (ci-joint).
J'aurais tendance à nommer cette dernière récolte cepistipes et toutes les autres gallica ; et par là-même, revoir mes connaissances sur le genre.

Bonjour, Je pense qu'au delà de la couleur du voile, d'autre critères doivent être pris en compte. A. gallica est souvent plus isolé, plus robuste, moins hygrophane, moins strié, le voile est nettement jaune, l'anneau fragile fibrilleux. habitat préférentiellement sur sapin. ...

17 oct. 2025, 00:49Richmond63 a écrit :

Mauvais renommage.
Voile Jaune, chapeau clair à mèches peu contrastées sont les caractéristiques de A. lutea = gallica.

Pardon j’avais mal compris. Comme on est pas encore certains je déclasse en attendant, et je vais revérifier tous ces points

Bonjour, Je pense qu'au delà de la couleur du voile, d'autre critères doivent être pris en compte. A. gallica est souvent plus isolé, plus robuste, moins hygrophane, moins strié, le voile est nettement jaune, l'anneau fragile fibrilleux. habitat préférentiellement sur sapin. ...

Mauvais renommage.
Voile Jaune, chapeau clair à mèches peu contrastées sont les caractéristiques de A. lutea = gallica.

Merci ! J'ai donc renommé le sujet : j'ai mis gallica plutôt que lutea car c'est ce que la base de donnée semble indiquer comme correct : c'est bien ça ?

En même temps gallica pousse plus isolée et est souvent plus massive, je trouve ici l'aspect un peu deguenillé de cepistipes, je ne vois pas non plus d'anneau bordé de jaune.

Jplm


PS : ah l'anneau, Nommo l'avait déjà dit.

Bonjour
La dernière récolte que j'ai présentée d'Armillaria gallica montrait des traces jaunes marquées à la base du pied et sur les restes de voile, l'anneau étant par ailleurs très peu coloré. C'est un peu la même observation que je fais ici. Je resterais donc sur la même espèce.

Le 15/10/2025 Pour rebondir sur le sujet de Thomas, cette espèce déterminée sur le terrain Armillaria gallica , synonyme de Armillaria lutea . Je l’ai reprise ce matin, l’absence totale de jaune sur l’anneau m’avail gêné, Armillaria cepistipes f. pseudobulbosa me semble plus ...

... Il a été construit par Kühner et Romagnesi sur les racines grecques eu- et osm- pour traduire "à bonne odeur". Description : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3211863x/f375.item. Et effectivement, si j'ai bien compris, même si ici son odeur était faible, il vaut mieux l'avoir ...

... se référant à une particularité qui distingue leur espèce de ses voisines mais bon, c'est écrit ici : bulletin SMF 187 : Je l'appelle Armillaria gallica parce qu'elle est très répandue en France, surtout dans les régions de l'ancienne Gaule. Jplm

... détails sur la caractérisation de cette espèce et le choix de son nom par Marxmüller avec la bénédiction de Romagnési : Je l'appelle Armillaria gallica parce qu'elle est très répandue en France, surtout dans les régions de l'ancienne Gaule. On a déjà été mieux inspiré... Jplm

Bonsoir,
Armillaria gallica

Cela ne pouvait pas être autre chose.
Peucedanum cervaria pour Flora Helvetica et Cervaria rivini pour Flora Gallica.

... Ghislaine, il s'agit du pavot de Californie, seule espèce du genre Eschscholzia poussant en France de façon "naturelle", d'après Flora Gallica. Devenu, j'ignore pourquoi, un habitué des gravières de la Dranse, le plus important torrent en France se déversant dans le lac Léman, après ...