Ah OK, Phaeogalera ça me parle beaucoup mieux que ce nom de genre bien curieux dont il est affublé...

Dryophila œdipus = Hemipholiota o. = Phaeogalera o. = Phaeogalera dissimulans.

... facilement car leur voile est bien moins abondant et ne laisse tout au plus que quelques maigres chinures sur le pied des exemplaires matures. Phaeogalera stagnina est une espèce assez proche, venant aussi dans les sphaignes des tourbières. Rare. Son voile blanc laisse des traces guirlandées ...

... facilement car leur voile est bien moins abondant et ne laisse tout au plus que quelques maigres chinures sur le pied des exemplaires matures. Phaeogalera stagnina est une espèce assez proche, venant aussi dans les sphaignes des tourbières. Rare. Son voile blanc laisse des traces guirlandées ...

Meottomyces dissimulans = Hemipholiota oedipus = Phaeogalera dissimulans = ... un tas d'autres synonymes dans un tas d'autres genres ! Pousse sur les débris de végétaux, ligneux ou herbeux. La photo n'est pas prise sur le lieu de récolte. Ceux-ci ...

En effet, si on prend le nom de 2008, non employé dans le GEPR de 2011 :clindoeil: P.d. au GEPR3. Pas de problème non plus. J'ai renommé, suivant notre convention. Ce champignon s'appelle aussi Meottomyces dissimulans . Je le trouve dans les forêts humides, greffé sur les feuilles au sol, souvent s...

Bonsoir

Phaeogalera ?

Je ne donne qu'une piste, car les Galerina, peuvent être extrêmement difficiles à déterminer si l'on a pas la littérature adéquate. De plus, il avait déjà été dit qu'il s'agit d'une Galerina (dans les galères, on aurait pu aussi avoir le genre Phaeogalera, mais c'est peu probable).

Oui après cela dépend des régions (comme toujours !). Certaines sont très enrichies en Meottomyces.

Perso, pour ce que je vois, je dirais peu courant. Vu à peu près tous les ans le long des chemins dans les feuilles, mais jamais en abondance, 2-3 ex, rarement plus, et aux époques où en général il n'y a pas d'autres champignons.
Au plaisir
Mjp

Ok, merci de l'info.
Etonnant que M. bon (Hemipholiota oedipus) le mette rare, car j'ai remarqué que quand quelque chose est rare pour lui, c'est peu dire par rapport à l'appréciation de R. Courtecuisse/ B. Duhem, qui le classe comme rare lui aussi.

Pas rare, c'est un classique des lieux humides en saison fraîche.
Andgelo

Merci Andgelo.
En saulaie, ce jour, il y en avait partout. Pourtant pas très commun apparemment comme espèce, non ?

Oui c'est bien Meottomyces actuellement.