Boletus aestivalis tardif
Posté : 28 oct. 2019, 11:29
Bonjour,
Je ne voulais pas mettre ce bolet en QSJ pour ne pas faire dix pages sur une espèce courante et que j'ai eu entre les mains
et même dégustée; mon unique cèpe consommé cet automne.
Sous un grand chêne, je trouve quasiment tous les étés quelques B. aestivalis entre juin et juillet. Au même endroit, un beau bébé d'un demi kilo - chapeau mat, non craquelée, brun ochracé clair, chair sous-cuticulaire blanche et pied identique à celui d'un edulis - et deux autres un peu plus loin sous châtaignier et sycomore, imbibés. Le même jour, des quantités de C. nebularis, L. nuda et C. tubaeformis !
Est-ce une question de profondeur du mycélium ? Superficiel chez les espèces tardives sus-citées et plus profond chez les bolets, donc se trouvant dans une couche encore tempérée ?
Je ne voulais pas mettre ce bolet en QSJ pour ne pas faire dix pages sur une espèce courante et que j'ai eu entre les mains

Sous un grand chêne, je trouve quasiment tous les étés quelques B. aestivalis entre juin et juillet. Au même endroit, un beau bébé d'un demi kilo - chapeau mat, non craquelée, brun ochracé clair, chair sous-cuticulaire blanche et pied identique à celui d'un edulis - et deux autres un peu plus loin sous châtaignier et sycomore, imbibés. Le même jour, des quantités de C. nebularis, L. nuda et C. tubaeformis !
Est-ce une question de profondeur du mycélium ? Superficiel chez les espèces tardives sus-citées et plus profond chez les bolets, donc se trouvant dans une couche encore tempérée ?