Champis.net

Lyophyllum ambustum, à spores globuleuses et typiquement bosselées.

Faerberia carbonaria. Au micro, les lamprocystides sont un vrai régal !

Un coprin rare de la section Domestici, Coprinellus bipellis, à voile abondant se rompant un peu comme chez une amanite.

Merci à tous, superbes photos pour un sujet passionnant.

Tephrocybe atrata. Haute-Savoie, 2011.

Bonsoir,

Myxomphalina maura Seine et Marne 29/11/2020.

Oh là là, l'avalanche !!! Ils vont au charbon tous ces gens là !

23 févr. 2021, 09:45Jplm a écrit :

Quant à Rhizina undulata, c'est le regret de ma vie (enfin, un des), je l'ai déjà raconté : je crois ne l'avoir vue qu'une fois, en forêt de Sénart (Essonne) il y a 40 ou 50 ans, mais quelle fois ! Une parcelle de pins avait brûlé quelque temps auparavant du côté de Montgeron et le sol noirci était littéralement couvert de ce champignon : des milliers.

Argh ! En fait, tu aurais préféré mille fois une que une fois mille.

23 févr. 2021, 13:50Fifi a écrit :

Tu le trouveras sous le nom Lyophyllum anthracophilum.

Puis la série Andgelo, je suis carbonisé !

Au fait, cette histoire de morilles sur places à feu, que faut-il en penser ?

23 févr. 2021, 21:38Bastic a écrit :

Au fait, cette histoire de morilles sur places à feu, que faut-il en penser ?

Seules quelques espèces sont saprophytes. Certaines de ces espèces peuvent aussi être carbonicoles. Je pense personnellement que nul autre que Pierre-Arthur Moreau ne pourra mieux l'expliquer, alors je partage ici sa conférence sur ce genre.

J'avais assisté à une version peut-être abrégée (mais in vivo !) de cette conférence à la SMF, quel plaisir de la retrouver ici. On dirait une petite causerie de rien du tout et on apprend un truc à chaque phrase.

Jplm

Bonjour,
Dans ma région, la morille saprophyte est Morchella elata. On l'appelle morille d'écorces car on la récolte habituellement sur des débris de conifères, mais on peut la trouver aussi sur place à feu ou encore sur des gravas lors de chantiers de construction.

Rhizina undulata. Mont Salève, octobre 2015.

Clitocybe sinopica. Saint-Jean-de-Sixt, Haute-Savoie, 2014.

Hebeloma anthracophilum. Son sosie H. birrus se distingue de façon subtile par ses dimensions sporales.

Coprinellus angulatus. D'une jolie couleur brun-rougeâtre dans la jeunesse, qui s'estompe avec l'âge pour passer au gris/gris-brun.
De bien jolies spores.