Champis.net

Pericouche a écrit :

Au vu des dernières photos , L.panaeolus devient vraisemblable .

Il s'agit bien d'un Lepista et non d'une tricholoma, je suis entierement d'accord avec Albert pour L. panaeolus assez typique jeune pour la forme.
Nous pourrions parler sans doute de sa variété nimbatus au chapeau typiquement givré et plus clair, Mais dans le Gr. panaeolus d'accord pour moi.
l'odeur agréable passe très souvent inaperçu, ce qui est rarement le cas pour L. irina dont l'habitât n'est pas terrible ici...

jlouis

quel habitat ?

Un irina avec une odeur nulle ?? Cela dit, rien de mieux à proposer...

Merci de toutes vos collaborations. Pour finir le sujet
Forme de la coupe : exactement le dessin du Petit Romagnesi pour L irina
Absence d'odeur: en feuilletant le dit Romagnesi je suis tombé sur une propre note de 1999 où j'avais trouvé une station à moins de 10 km avec exactement la même absence: Conclusion soit j'ai perdu mon nez depuis 10 ans au moins et cela ne sert plus à rien d'acheter des vins onéreux, soit il y a une grande variabilité d'intensité olfactive de ce champignon
Sporée très très pâle : vu la fable sporulation, pas de masse et difficile de dire rose. Exclu dans tous les cas la direction d'entolome évoquée tout au début.
Chapeau après 12 h de pluie: Vraiment beige et fortement hygrophane sauf au centre. A peine lubrifié. Pas givré comme un clitocybe blanc. Il reste très mameloné à marge enroulée et pas plan sinueux comme décrit pour les clitocybes. Et puis les lames sont soit échancrées soit adnexées mais pas pentues. Adieu les clitocybes.

En cherchant aussi dans les tricholomes, le seul qui par les clés eut été possible mais que je ne connais pas est Melanoleuca evenosa. L'allure du chapeau et la blancheur des lames sur les photos du net me font l'exclure.

Donc malgré ce problème de manque de parfum je conclus Lepista irina.