Re: [Cortinarius sp.] Demande d'assistance pour décrire un cortinaire
Posté : 22 nov. 2019, 07:06
Bonjour à tous,
Pour ce qui est des clés du genre, et en attendant que les plus férus (et critiques ?) d'entre vous nous en construisent une
, elles sont bien sûr extrêmement difficiles à établir, en particulier dans certains sous-genres (Telamonia, évidemment et notamment).
Les clés du GEPR ne doivent rien à Belin, et j'ai fait au mieux étant donné la difficulté de l'exercice : elles sont à la fois loin d'être parfaites, et très loin d'être complètes, mais elles semblent fonctionner dans, disons, un nombre relativement raisonnable de cas pas trop complexes.
Pour répondre plus spécifiquement à Thomas, je trouve sa description très bonne, si ce n'est qu'elle met en évidence un des pièges de la mycologie : n'étudier qu'un seul exemplaire. Il y a fort à parier que, si plusieurs exemplaires avaient été étudiés, à tous les âges du développement, l'anneau n'aurait pas été décrit ainsi et serait plus apparu comme une sorte de "chaussette"... à vérifier. Toujours est-il que ces torvus très violacés et à voile ochracé, qui se rapproche morphologiquement de ionophyllus qui est une espèce de la pessière subalpine, ben je ne sais pas les nommer... Peut-être s'agit-il simplement de torvus, mais je n'en sais pas plus.
Je voulez vous joindre une photo de torvus "archétypiques", à chapeau sans bleu, et à voile blanc, mais pas moyen de joindre la pièce jointe, qui ne pèse pourtant que 220 Ko... (toujours le même message "Le fichier est trop volumineux, la taille maximum autorisée est de 1 Mio.").
Amitiés, Guillaume.
Pour ce qui est des clés du genre, et en attendant que les plus férus (et critiques ?) d'entre vous nous en construisent une

Les clés du GEPR ne doivent rien à Belin, et j'ai fait au mieux étant donné la difficulté de l'exercice : elles sont à la fois loin d'être parfaites, et très loin d'être complètes, mais elles semblent fonctionner dans, disons, un nombre relativement raisonnable de cas pas trop complexes.
Pour répondre plus spécifiquement à Thomas, je trouve sa description très bonne, si ce n'est qu'elle met en évidence un des pièges de la mycologie : n'étudier qu'un seul exemplaire. Il y a fort à parier que, si plusieurs exemplaires avaient été étudiés, à tous les âges du développement, l'anneau n'aurait pas été décrit ainsi et serait plus apparu comme une sorte de "chaussette"... à vérifier. Toujours est-il que ces torvus très violacés et à voile ochracé, qui se rapproche morphologiquement de ionophyllus qui est une espèce de la pessière subalpine, ben je ne sais pas les nommer... Peut-être s'agit-il simplement de torvus, mais je n'en sais pas plus.
Je voulez vous joindre une photo de torvus "archétypiques", à chapeau sans bleu, et à voile blanc, mais pas moyen de joindre la pièce jointe, qui ne pèse pourtant que 220 Ko... (toujours le même message "Le fichier est trop volumineux, la taille maximum autorisée est de 1 Mio.").
Amitiés, Guillaume.