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Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 08:02
par Nommo
Accroche-toi, les premières russules seront le meilleur des traitements.

Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 08:05
par Ghislaine
Bien sûr je remercie tout le groupe!
Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 08:08
par Castor74
Nommo a écrit :Accroche-toi, les premières russules seront le meilleur des traitements. 
Merci Nommo...

Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 11:00
par Jplm
castor74 a écrit :Nommo a écrit :Accroche-toi, les premières russules seront le meilleur des traitements. 
Merci Nommo... 
Faute de russules, je vais te mettre des fleurettes !
Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 11:01
par Castor74
Jplm a écrit :castor74 a écrit :
Merci Nommo... 
Faute de russules, je vais te mettre des fleurettes !
Très volontiers!!!

Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 11:08
par Jplm
Rebonjour,
L'avis de Jean-Pierre ou Andgelo ou NSchwab ou autre m'intéresserait sur cette rouille. Peut-on conclure à confusum avec ces seules vues macro ? Peut-on exclure sabinae ? Y a t-il un troisième ou quatrième larron ? Que faudrait-il faire pour les discriminer, sachant que le second hôte n'a pas été identifié ? Avec ce que j'ai dit de l'absence de la plupart des seconds hôtes habituels, quel pourrait-il être ?
Jplm
Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 11:28
par Nommo
Quid de Gymnosporangium clavariiforme ?
Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 11:45
par Jplm
Nommo a écrit :Quid de Gymnosporangium clavariiforme ?
Pas la forme, je trouve.
Jplm
Re: Aux Baumettes ?
Posté : 13 mai 2019, 22:57
par Jplm
Bonsoir,
J'ai montré mes photos (faute d'avoir pris un exsicc.) cet après-midi à la SMF, y compris à certains spécialistes des rouilles. Le premier nom à sortir est Gymnosporangium sabinae, ma première idée aussi. Mais quand on souligne la possibilité de confusum, ça devient... confus. Si on ajoute l’extrême improbabilité d'un poirier à 10 km à la ronde et la difficulté de trouver un autre second hôte plausible, on est en plein brouillard. Sorbier a été suggéré mais une fois de plus je n'en ai jamais vu dans le maquis environnant (on parle du sud-sud de la Corse à 30-40 m d'altitude). En revanche, nous avons dans les terrains voisins des mûriers (Morus < Moraceae < Rosales) et bien sûr des ronces (Rubus < Rosaceae < Rosales) mais je n'ai jamais constaté ni lu nulle part que des rouilles du genévrier s'y attaquaient !
Le debat reste ouvert.
Jplm
Re: [Gymnosporangium cf. sabinae] Aux Baumettes ?
Posté : 15 mai 2019, 20:54
par Jean Pierre
Bonsoir,
Je ne pense pas qu'il soit possible d'identifier l'espèce avec seulement l'aspect macro de la phase sur genévrier.
L'identification du deuxième hôte serait un plus mais pas une certitude vu que toutes les espèces peuvent avoir au moins occasionnellement les différentes espèces citées comme hôte secondaire. Evidemment si le deuxième hôte était un poirier, cela plaiderait très fortement en faveur de
G.sabinae. Il me semble aussi qu'il y a des affinités entre les différentes espèces de genévrier et les hôtes secondaires. Je pensais avoir déjà vu un tableau qui les présentait, mais je ne l'ai pas retrouvé.
Jplm a écrit :absolument aucun poirier (ils ne viennent pas dans l'extrême-sud, sauf en montagne. Ni d'aubépine ou de cognassier (même raison), peut-être un ou deux pommiers
Puisque des poiriers poussent à quelques kilomètres comment exclure que l'on puisse en trouver même rabougris près de chez toi ?
Re: [Gymnosporangium cf. sabinae] Aux Baumettes ?
Posté : 15 mai 2019, 23:04
par Jplm
Jean Pierre a écrit :Je ne pense pas qu'il soit possible d'identifier l'espèce avec seulement l'aspect macro de la phase sur genévrier.
C'est bien ce que j'ai laissé entendre plus haut, d'où le cf.
Jean Pierre a écrit :Jplm a écrit :absolument aucun poirier (ils ne viennent pas dans l'extrême-sud, sauf en montagne. Ni d'aubépine ou de cognassier (même raison), peut-être un ou deux pommiers
Puisque des poiriers poussent à quelques kilomètres comment exclure que l'on puisse en trouver même rabougris près de chez toi ?
C'est pourquoi j'ai parlé plus haut d'extrême improbabilité et non d'impossibilité. Mais c'est déjà le deuxième genévrier où je trouve ce champignon, ici particulièrement développé, et je suis sûr que je le retrouverai si j'ausculte à la bonne saison les centaines de genévriers à la ronde, il doit forcément y avoir le second hôte, poirier ou autre, et pas à 50 bornes.
Affaire à suivre.
Jplm