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Bonsoir, emeticineae ?

16 juil. 2021, 20:29castor74 a écrit :

Bonsoir, emeticineae ?

Bonsoir Castor septante-quatre
Emeticineae +1

Gaïac faible = stirpe emetica

16 juil. 2021, 20:56castor74 a écrit :

Gaïac faible = stirpe emetica

Assurément !

Ça devient nettement plus compliqué ensuite, tellement il y a de caractères croisés...

Cuticule très séparable, odeur de coco, j'aurai bien une solution forestière

16 juil. 2021, 21:18castor74 a écrit :

Ça devient nettement plus compliqué ensuite, tellement il y a de caractères croisés...

Malheureusement je ne dispose pas du recueil sur "les émétiques" de Reumaux et Moënne-Loccoz.
En la matière, je me réfère à ce que tu as déjà exposé à savoir:
* cuticule non ou peu séparable = R. luteotacta ss. lato
* cuticule (très) séparable, avec de grdes spores hérissées 12 x 8,5 (9) + poils à articles allongés + gayac faible = stirpe emetica
* cuticule (très) séparable avec spores à ornementation basse n'excédant pas 10 x 7 + poils à articles courts + gaïac ++ = stirpe mairei à la manière de Marcel BON (DM)
-> la dichotomie m'amène à R. emetica s.l. ou R. emetica var emetica ?

Une certitude: c'est l'âcreté, le feu dans la bouche qui justifie l'appel aux pompiers !!

J'ai l'ouvrage en question. Je l'ai utilisé longtemps, sans jamais avoir aucune certitude au sujet des émétiques (hors espèces faciles comme luteotacta). Alors je suis OK pour emetica (stirpe emetica) sensu lato...

16 juil. 2021, 21:47castor74 a écrit :

J'ai l'ouvrage en question. Je l'ai utilisé longtemps, sans jamais avoir aucune certitude au sujet des émétiques (hors espèces faciles comme luteotacta). Alors je suis OK pour emetica (stirpe emetica) sensu lato...

Merci Laurent

Vous pouvez expliquer pourquoi vous éliminez R. silvestris ?
Le rouge n'est pas assez terne ? Autres raisons ?

17 juil. 2021, 08:09Y.Courtieu a écrit :

Vous pouvez expliquer pourquoi vous éliminez R. silvestris ?
Le rouge n'est pas assez terne ? Autres raisons ?

Sans l'éliminer, on ne peut non plus pas affirmer que c'est elle... Trop de ressemblances avec d'autres, comme par exemple la variété gregaria. Dans ce groupe, malgré les efforts des auteurs, personne ne s'y retrouve vraiment (sauf peut-être certains mycologues qui prétendent y arriver, sans doute avec un petit peu de méthode Coué). Sans compter que la microscopie fait apparaître des caractères croisés. Je me suis battu avec ce groupe pendant au moins cinq ans, sans jamais avoir aucune certitude. On peut rester dans les grandes lignes avec la taille des spores et la réaction au gayac... Après...