[Gomphidius maculatus et Suillus grevillei] Deux
Posté : 22 oct. 2016, 18:09
Bonjour,
Deux pour vous donner un indice de choix.
Deux pour vous donner un indice de choix.
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Re: Deux
Posté : 22 oct. 2016, 19:11
S. g. et G. m. sous mélèze!!
Re: Deux
Posté : 22 oct. 2016, 20:04
Oui, un duo classique d'altitude. Mais le G. est beaucoup plus rare que le S.
Re: Deux
Posté : 22 oct. 2016, 20:50
Bonjour,
O.K.+1 pour S.g. et G.m.; ce dernier étant extrêmement rare en Belgique.Une observation mentionnée le 24/09/2016 dans l' est de la Belgique.Ce champignon est considéré régionalement comme éteint.Je ne sais ce qu' on entend par régionalement sans plus de précisions.
Cordialement.
Pierre.
O.K.+1 pour S.g. et G.m.; ce dernier étant extrêmement rare en Belgique.Une observation mentionnée le 24/09/2016 dans l' est de la Belgique.Ce champignon est considéré régionalement comme éteint.Je ne sais ce qu' on entend par régionalement sans plus de précisions.
Cordialement.
Pierre.
Re: Deux
Posté : 22 oct. 2016, 21:57
Il ne boude pas les quelques mélèzes de plantation des alentours. Et c'est pas moi qui lui donnerai tort. 
Une première rencontre qui me fait très plaisir.
Une première rencontre qui me fait très plaisir.Re: Deux
Posté : 22 oct. 2016, 22:41
Bonsoir,
C'est un phénomène qui m'a toujours stupéfait : le mélèze si abondant dans les Alpes, je me souviens du Queyras où il n'y avait que ça, est rarissime dans les régions de plaine au nord de la Loire. Ce sont comme chez Bastic ou comme j'en ai vu dans quelques forêts d'Île-de-France que quelques maigres essais de plantations, et pourtant les espèces inféodées au mélèze suivent. Elles sont arrivées avec les racines des plants ou bien, parmi les milliards de spores qui volent au vent, il y a quelques unes qui se sont dit : pourquoi pas la Normandie ?
Jplm
C'est un phénomène qui m'a toujours stupéfait : le mélèze si abondant dans les Alpes, je me souviens du Queyras où il n'y avait que ça, est rarissime dans les régions de plaine au nord de la Loire. Ce sont comme chez Bastic ou comme j'en ai vu dans quelques forêts d'Île-de-France que quelques maigres essais de plantations, et pourtant les espèces inféodées au mélèze suivent. Elles sont arrivées avec les racines des plants ou bien, parmi les milliards de spores qui volent au vent, il y a quelques unes qui se sont dit : pourquoi pas la Normandie ?
Jplm