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Bonjour, ayant trouvé cette russule dans sur bois de chênes pubescents et pins sylvestres en station thermophile sur terrain argilo calcaire (présence d'oronges et rubroboletus rodoxanthus mais aussi nombreuses phalloides !) j'avais mis un nom sur le terrain compte tenu de sa morphologie, sporée 1a, saveur douce, odeur faible, gaiac plus sur lames et très faible sur stipe , mais l'ornementation sporale ne convient pas (spores subréticulées, poils cuticulaires subclavés )
Cette russule étudiée hier lors du TP du DU de Grenoble sur les russules que j'avais amenées en grand nombre ( et pas des faciles pseudointegra, solaris, grisea, parazurea, farinipes, graveolens, romelii, sororia, melzeri etc..) nous sommes arrivés à un autre nom sans conviction avec Pierre Roux.
Avez vous une idée ? ; dans tous les cas un séquençage sera bienvenu

Effectivement une belle « gueule » de lilacea en ignorant l’ornementation des spores.

Bonjour, c'est le nom mis sur le terrain avec déjà un doute sur l'écologie de lilacea que je connais de hêtraie fraiche

Pas d'idée pour celle-ci.
Par ailleurs, peux-tu conclure ton sujet sur l'autre Russule présentée il y a quinze jours ?
Voir Ici.
Merci d'avance !

Nous l'avons étudier avec Pierre Roux, les hyphes incrustées (déjà soupçonnées vu la cuticule) et poils subclavés, avec des spores réticulées, nous amène au vicariant de russula lilacea : russula subazurea mais il n'y avait pas de chênes sempervirents donc sans certitude.

Bonjour,

Conclusion ?

Pour l'heure même si l'écologie me laisse perplexe ; je mets un nom provisoire avant un éventuel séquençage : russula subazurea, la micro correspond