Elle assure un MAX !
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- Nom : Nicolas Schwab
- Associations : Société Mycologique de Tramelan - Société Mycologique des Montagnes Neuchâteloises
- Localisation : Renan, BE (Suisse)
Plutôt hasardeuses les identifications et classifications, mais cela doit venir d'un vieux guide de terrain (en vue du rendu des couleurs sur les photos). Mais pourquoi 150 champignons dans le titre !? Il n'y en a que 30 sur les images montrées. En tant que contrôleur à la VAPKO, ont doit faire une table de 70 espèces en 25 minutes et tous les 5 ans, 30 espèces. Point positif : elle est bien moins dangereuse et plus divertissantes que les autres personnes dans les vidéos que tu nous partages .
Et tant qu'on est sur le Québec, je vous invite à regarder les magnifiques photos de nos compères mycologues transatlantiques.
Et tant qu'on est sur le Québec, je vous invite à regarder les magnifiques photos de nos compères mycologues transatlantiques.
Mycologue intégriste radicalisé.
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- Enregistré le : 03 oct. 2011, 10:37
- Nom : Jean-Pierre Lachenal-Montagne
- Associations : Société Mycologique de France - Associu U Muchjinu : Société Mycologique de Porto-Vecchio
- Localisation : Paris, parfois Corse
Oui, c'est toujours mieux que le Trappeur Picard ou Champipro mais ça reste du "par coeur" (retenir 150 espèces, Nicolas, et être interrogée sur 30), elle aurait aussi bien pu mémoriser 150 visages avec leur noms, prénoms, dates de naissance et âge de leur petit-frère. À part l'exploit mnémotechnique, incontestablement impressionnant, je ne vois pas trop l'intérêt de ce genre de représentation.
Je suis infiniment plus impressionné lorsque je côtoie quelques vrais mycologues (ça m'arrive, ici et ailleurs) qui m'identifient au débotté une espèce dont j'ignorais même le genre, me citent les espèces voisines, leurs différences micro et macro, le bouquin qu'il faut ouvrir pour vérifier, se plantent éventuellement, se rectifient, et apprennent, et apprennent (mais pas par coeur), et apprennent toujours.
Jplm
Je suis infiniment plus impressionné lorsque je côtoie quelques vrais mycologues (ça m'arrive, ici et ailleurs) qui m'identifient au débotté une espèce dont j'ignorais même le genre, me citent les espèces voisines, leurs différences micro et macro, le bouquin qu'il faut ouvrir pour vérifier, se plantent éventuellement, se rectifient, et apprennent, et apprennent (mais pas par coeur), et apprennent toujours.
Jplm
Jean-Pierre Lachenal-Montagne
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