Pour nourrir un petit intérêt
Rubrique pour apprendre en s'amusant. On poste des photos de champignons déjà déterminés sans en donner le nom...
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Bonjour à tous,
Ce "Qui suis-je ?" a pour vocation de présenter un groupe de champignons peu étudiés par les mycologues. Pourtant, ce ne sont pas des champignons ni difficile à déterminer, ni même rares. Ils ont également une importance capitale dans l'agriculture, l'horticulture ainsi que dans le simple jardinage. Note : l'appendice bifide sur la seconde photographie n'est pas habituel, ce cas étant même rare.
Ce "Qui suis-je ?" a pour vocation de présenter un groupe de champignons peu étudiés par les mycologues. Pourtant, ce ne sont pas des champignons ni difficile à déterminer, ni même rares. Ils ont également une importance capitale dans l'agriculture, l'horticulture ainsi que dans le simple jardinage. Note : l'appendice bifide sur la seconde photographie n'est pas habituel, ce cas étant même rare.
Modifié en dernier par NSchwab le 20 juil. 2019, 06:55, modifié 1 fois.
Mycologue intégriste radicalisé.
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ghislaine a écrit :Bonjour.Oui ! Il est minuscule (mesurant 160-250 µm) et c'est ce que l'on voit sur la feuille. Le blanc étant son mycélium et les petites boules allant du jaune (chez les jeunes) jusqu'au brun-noir (chez les âgées) sont les cléistothèces (aussi appelées chasmothécies). Les branches disposées sur l'équateur du cléistothèce sont nommés les appendices.
C'est le champignon lui-même avec cette forme?
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Bonjour.
Leveille (1851) sur corylus.
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Jean Pierre Raverat.
http://www.champignons77.org/
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montama a écrit :BonsoirPodosphaera (Sphaerotheca) pannosa fait partie de la même famille que l'espèce présente sur les photos. Un indice, il faut commencer par identifier l'hôte.
Je pense qu'il doit s'agir de l’oïdium ou "blanc des rosiers" (entre autres)
Une vraie plaie pour les rosiers. Personnellement je n'ai jamais trouvé de solution miracle ni préventive ni curative
S p
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P.g. (La fiche est sur MycoDB)
Yves
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Effectivement, vous avez bien trouvé qu'il s'agissait de Phyllactinia guttata. La démarche que je préfère utiliser pour déterminer un Erysiphale est de tout d'abord déterminer l'hôte avec précision (ici Corylus avellana) puis d'observer la forme des appendices. Parfois, d'autres critères sont nécessaires à la détermination, mais c'est plutôt rare ou dans des cas où les cléistothèces ne seraient pas présents. Chez les Phyllactinia, les appendices ont une forme d'aiguille avec à son origine, une bulle.
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