Étonnant
Tout ce qui n'est ni plante, ni insecte, ni lichen...
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- Association : Association Mycologique de l'Ouest
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Bonjour,
le comportement de ce mâle Grand tétras (Tetrao urogallus) n'est pas du tout dans la normalité des choses.
Depuis déjà fort longtemps, l'ONC et les ornithologues se penchent sur le problème de ces oiseaux "fous".
Ils ne craignent plus les humains, les agressent avec violence, les harcèlent dans les stations de ski, se posent sur les voitures, attaquent les chiens…
Ces agissements sont surtout le fait des mâles et les causes ne sont guère élucidées malgré bien des hypothèses avancées.
André
le comportement de ce mâle Grand tétras (Tetrao urogallus) n'est pas du tout dans la normalité des choses.
Depuis déjà fort longtemps, l'ONC et les ornithologues se penchent sur le problème de ces oiseaux "fous".
Ils ne craignent plus les humains, les agressent avec violence, les harcèlent dans les stations de ski, se posent sur les voitures, attaquent les chiens…
Ces agissements sont surtout le fait des mâles et les causes ne sont guère élucidées malgré bien des hypothèses avancées.
André
Il est exact que l'une des hypothèses avancées est celle d'un manque de femelles.
A cela s'ajoute la régression continue des populations de Grands Tétras :
- Vosges : années 1960 : 1500 à 500 adultes (1975) puis 320 en 1990,
- Jura : 800 à 400,
- Alpes du sud : 50 en 1975, ne subsiste plus qu'un population (10 ne d'adultes),
- Pyrénées : 10 000 (1940), 5200 en 1975.
Ce, malgré des lâchers d'oiseaux élevés sur place.
Causes invoquées : déboisements, dérangement, braconnage (surtout sur les places de chant !), ouverture de routes, compétition sportives etc.
Une fois de plus, rien de "naturel" n'est cause de la dégradation des populations de ce splendide oiseau.
André
A cela s'ajoute la régression continue des populations de Grands Tétras :
- Vosges : années 1960 : 1500 à 500 adultes (1975) puis 320 en 1990,
- Jura : 800 à 400,
- Alpes du sud : 50 en 1975, ne subsiste plus qu'un population (10 ne d'adultes),
- Pyrénées : 10 000 (1940), 5200 en 1975.
Ce, malgré des lâchers d'oiseaux élevés sur place.
Causes invoquées : déboisements, dérangement, braconnage (surtout sur les places de chant !), ouverture de routes, compétition sportives etc.
Une fois de plus, rien de "naturel" n'est cause de la dégradation des populations de ce splendide oiseau.
André
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